Chant nuptial pour violon et harpe (ou piano), orgue et violoncelle ad lib.

Auteur MEL-BONIS (1858-1937)

Partitions Violon et piano / Partitions Violon et instruments divers

Illustration de Chant nuptial pour violon et harpe (ou piano), orgue et violoncelle ad lib.
Éditeur Henry Lemoine
Réf. éditeur 29519
ISMN/ISBN 9790230995191
Réf. DIAM 251179
Prix : 17,90 € Envoi le 08/05/2024
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Notes de l'éditeur

Cette pièce, très chantante avec son accompagnement d'accords arpégés puis d'arpèges ascendants, est composée pour violon et harpe ou piano, avec violoncelle et orgue ad libitum. Dédiée à Monsieur l'Abbé Durand. Elle est éditée pour la première fois chez Hamelle en 1928 et en 1929 (source data BNF musique). Nous disposions pour la présente édition d'un manuscrit conducteur violon, harpe et orgue daté de 1926, de deux manuscrits violon et harpe, dont un également daté de 1926, et de parties séparées de violon, de violoncelle et d'orgue. Nous disposions également de l'édition ancienne Hamelle. Les parties d'orgue n'étant pas toujours identiques suivant les sources, nous avons dû faire des choix pour certains détails qui n'étaient pas toujours évidents, en nous référant à la logique harmonique de l'oeuvre et à la pratique des instruments.
Il apparaît clairement que cette oeuvre sera exécutée le plus souvent en duo violon et harpe (ou violon et piano). Mais le Chant Nuptial se prête particulièrement bien aux cérémonies de l'église dans sa version ajoutant l'orgue, et éventuellement violoncelle, à l'ensemble violon et harpe obligés.
Je remercie l'Ensemble Mel Bonis de Leverkusen pour son très sérieux travail de correction.

Christine Géliot

Presse
Disons un grand merci aux éditions Lemoine de continuer à mettre à notre disposition les oeuvres si attachantes de Mel Bonis. Rappelons que Mel Bonis (1858-1937) a été l'élève d'Auguste Bazille au Conservatoire de Paris, où elle a pu entrer grâce à César Franck.
Malgré de nombreux obstacle, elle nous a laissé plus de trois cents oeuvres y compris orchestrales. Celle qui nous est présentée ici est à géométrie variable. Si la version piano - violon risque d'être la plus souvent jouée, l'oeuvre trouve sa plénitude lorsqu'elle est interprétée en quatuor. Oeuvre de 1928, elle est écrite dans le langage spécifique de la compositrice, où les audaces harmoniques s'expriment dans une forme qu'on peut qualifier de classique. L'ensemble pourra trouver place en concert ou même en cérémonie d'église.
Souhaitons qu'elle soit souvent interprétée dans sa forme la plus achevée.

Daniel Blackstone
L'Education Musicale n°128 (janv-fév 2020)