Éditeur | De Haske |
Réf. éditeur | DHP 1216326-070 |
Collection | Music Box |
ISMN/ISBN | 9790035246238 |
Réf. DIAM | 255122 |
1. Emerald Isle (Île d’émeraude), cette première partie met en vedette la verdoyante île d’Irlande et son riche patrimoine de musique folklorique traditionnelle. Elle s’ouvre avec « My Lodging Is on the Cold Ground », un air également connu sous le titre « Believe Me, If All Those Endearing Young Charms » (mesures 5-24). Vient ensuite un autre air célèbre, « The Minstrel Boy » (mesures 29-44), lui-même suivi de « The Groves of Blarney », peut être mieux connu sous le titre « The Last Rose of Summer » (mesures 53-68). Chaque air est annoncé par une courte introduction et s’achève avec une courte conclusion. 2. Old Kentucky Memories (Souvenirs du vieux Kentucky), après une introduction de 14 mesures, toute l’attention se porte sur la chanson « My Old Kentucky Home ». A fil de la pièce, des fragments de souvenirs fugaces émergent, disparaissant aussi vite qu’ils se présentent : cette impression est créée par le biais de courts motifs et thèmes empruntés à d’autres chansons. On les entend brièvement puis ils s’estompent, comme de lointains souvenirs du vieux Kentucky, jusqu’à une reprise de l’introduction pour conclure la pièce. 3. Uppland, est une province suédoise aux riches traditions musicales, tout comme l’ensemble de la Suède, qui compte de nombreuses danses et chansons. Beaucoup sont en tonalité mineure, et cette partie en comprend trois. La première est « Svensk folkvisa » (mesures 1-38), qui est suivie de « ‘Värmlandsvisan » (mesures 39-67), et la pièce s’achève avec « Vexelsang » (mesure 68 jusqu’à la fin). 4. Ratatouille, cette dernière partie ne comprend pas d’air provenant d’un seul pays. C’est un méli-mélo, une « ratatouille » de trois chansons folkloriques sans aucun lien. Il y a d’abord une chanson russe, « Le Rossignol » (mesures 1-30), puis « Sakura », originaire du Japon (mesures 31-58) et, enfin, « Waltzing Matilda », venue d’Australie (mesure 59 jusqu’à la fin). La chanson russe est d’Alexander Alyabyev (1787-1851), mais nous ignorons les auteurs des deux autres chansons.